VIDEOS N°04 - 7 Faces capitales

Description : la série de "7 Faces capitales" est introduite par un court "2 vues de fenêtres" (en tout 8 montages à voir sur ce VIDEOS N° 004).

"2 vues de fenêtres" est un montage où Olivier Gouery photographe néo-creusois et ex-Parisien compare 2 photos prises de sa cuisine de Paris et de La Souterraine. Ce tournage m'a permis de lui demander les lieux parcourus de lui dans Paris et de réaliser plusieurs montages en forme de dédicaces.

Vous pouvez lire ce court avec le lien  http://blip.tv/file/3064704 

Série de "7 Faces capitales"

Sur les pas d'un ami photographe Olivier Gouery, ex-parisien et néo-creusois, dans le métro, les quartiers qu'il a aimé et en autoroute vers le Limousin. A chaque fois les images du secteur sont accompagnées d'une chanson d'un artiste connu (merci à eux).

1- -- lire le film avec le lien http://blip.tv/file/3047899

2- -- lire le film avec le lien http://blip.tv/file/3020052

3- -- lire le film avec le lien http://blip.tv/file/3047960

4- -- lire le film avec le lien http://blip.tv/file/3020184

5- -- lire le film avec le lien http://blip.tv/file/3047776

6- -- lire le film avec le lien http://blip.tv/file/3020013

7- -- lire le film avec le lien http://blip.tv/file/3048625

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EXPLICATIONS

7 faces capitales (dont Paris Métro + Sortie d’autoroute) sont une série de montages pas du tout convaincants du point de vue technique (de prises de vues, de sons et de choix d’images).

J’ai fait le choix de les mettre en ligne dans mon blog pour plusieurs raisons que je vais relater.

1- Il s’agit d’une évocation de lieux où mon copain photographe Olivier Gouery et accessoirement projectionniste à La Souterraine (23) a vécu et aimé s’y balader.

Se promener sur ses pas à Paris pour encore mieux le connaître (puisque je finalisais un documentaire sur lui et son travail de photographe) a été un bonheur.

Merci à lui de m’avoir précisé le parcours que je devais emprunter.

2- Le choix des artistes (chanteurs) dont j’ai utilisé les chansons a été dicté par leur évocation du thème ou du quartier que les images révélaient.

S’emparer de créations pour en faire d’autres personnelles est à la portée de tous et ce n’est en aucun cas un gage de réussite artistique. Pour moi c’est là encore, être dans des traces d’auteurs et/ou interprètes qui ont vibré sur les mêmes lieux.

J’ai essayé de contacter Mano Solo en 2009, sans succès, lors d’un concert à Montmorillon (86) pour lui dire que je lui étais gré de me prêter sa chanson et il vient de mourir des suites d'une grave maladie. Paix à son âme, et merci pour son oeuvre.

Pour H.F. Thiéfaine je l’ai vu plusieurs fois en concert et suis un inconditionnel depuis longtemps.

Pour les autres que j’apprécie aussi, pas seulement pour le seul extrait utilisé, j’espère pouvoir être spectateur d’un de leurs concerts, pour les remercier de m’avoir donné du plaisir d’auditeur .

Merci à eux, que je vais tous nommer.

Jean Guidoni - La carte orange

Mano Solo - Barbès Clichy

Balbino Medellin - Gitan de Paname

Orchestre National de Barbès - Dor Biha

DJ Midi - Gare du Nord

Benoît Charest - Les Triplettes de Belleville

H. F. Thiefaine - Autoroute jeudi d'automne

3- Enfin je n’avais aucune autorisation pour filmer avec mon caméscope dans Paris.

Montrer, dans une logique de reportage, lieux et personnes, faisaient partie de mon ambition de réalisation. Les personnes filmées à leur insu, pour la très grande majorité, ainsi que le métro, les rues, l’autoroute empruntés, tout ce que je pouvais enregistrer au hasard de ma déambulation, ont fait partie de cette expérience.

Merci donc à toutes les personnes et aux possesseurs des lieux qui ont joué un rôle dans mes compositions.

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Filmer dans Paris en une matinée, en Mai 2008, monter quelques mois après, en bonus du premier documentaire dont j’ai déjà parlé pour évoquer le travail de photographe d’Olivier Gouery faisaient partie de mes buts. Mon premier essai documentaire sérieux sur lequel j’ai quelques satisfactions, n’a jamais été montré en public.

Regarder le bonus au travers de « 7 faces capitales » peut être une occasion de me demander à visionner ce film.

Et si c’était à refaire :

Maîtrisant mieux les techniques, à ce jour de début 2010, je choisirais des rushes et des plans différents, je supprimerais des enchaînements, etc… mais je pense aujourd’hui que je pourrais être animé par la même envie, des convictions similaires et sans doute ferais-je une version plus abouti de ce travail.